Le policier Yves Francoeur n’a pas dit un mot de plus que ce qu’il avait affirmé le printemps dernier concernant des enquêtes qui viseraient deux ministres libéraux, « un toujours en poste et un autre qui n’est plus au cabinet ». Et pourtant, hier, le bal des attaques à sa crédibilité a repris, et de façon véhémente.
C’était attendu. Quand les médias ont publié des informations compromettantes sur le PLQ ou sur Philippe Couillard dans le passé, c’est toujours ainsi que cela a fonctionné. Attaquer le messager, banaliser l’information compromettante. Canadian royalties, Hans Black, Amorfix, Arthur Porter, la SIQ, l’immunité diplomatique des élus libéraux, le fiasco de l’A-13, nombre de témoignages à la CEIC et de reportages de divers médias sur le financement politique et la collusion au PLQ… Toujours la même chose.
Attaquer le messager, banaliser l’info. Et le sempiternel poing sur la table par le PM Couillard.
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