« N’oublions pas que la tragédie que sont en train de vivre les migrants aujourd’hui est la plus grande depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale. »
Au terme de l’audience générale du 22 mars dernier, le pape François est revenu à nouveau sur le thème des migrants si chers à son cœur. Et a fait de leur exode la plus grande tragédie de notre époque contemporaine, après les heures les plus sombres de notre histoire, bien entendu.
Animé par son esprit humanitariste globalisant et mondialiste, ouvert à l’autre, immigré, clandestin, migrant, réfugié, et d’autant plus si c’est le plus éloigné, il en oublie le plus petit des plus petits et le génocide que ce faible subit. Il oublie que le pire génocide de l’histoire, bien supérieur en quantité que les morts de la dernière guerre, que les massacres du communisme, que l’exode de masse des « migrants », s’accomplit tous les jours dans la plus grande des indifférences politique, médiatique, religieuse, humaine : je veux parler de l’avortement des enfants à naître. Chaque seconde, ce sont près de 1,5 avortements qui sont pratiqués dans le monde, soit 43,8 millions d’enfants tués dans le sein de leur mère, chaque année, tous pays confondus, selon les statistiques de 2008.
Un véritable génocide planétaire, institutionnalisé, légalisé, légitimité par le politiquement correct.
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