16.02.2017 - Soros finance Google pour stopper Le Pen ?

Les grands médias n’ont pas révélé cette information : George Soros a investi dans Google en intensifiant sa campagne de «Fakes News» destinée à faire baisser le vote de l’anti-mondialiste Marine Le Pen, principale candidate du parti conservateur du Front national (FN) à l’élection présidentielle française prévue pour le 23 avril.

Le 15 novembre 2016, Market Watch a signalé que le fonds de couverture de Soros Fund Management LLC, de George Soros, a investit dans Alphabet Inc., la société mère de Google.

Le 16 février 2012, Forbes a rapporté que Soros avait négocié des actions avec Google avant 2007, mais qu’il les avait complètement épuisé au deuxième trimestre de 2011, à 550 $ par action.

Puis, au quatrième trimestre 2011, Soros a acheté sa plus grande part dans Google à ce jour, en achetant 258 900 actions à environ 592 $ par action pour un investissement total de 154 millions de dollars. L’investissement de Soros dans Google en 2011 a été réalisé par Quantos, le prédécesseur de Soros, le fonds de couverture le plus performant de l’histoire qui, en 2011, était fermé au public et qui se concentrait uniquement sur la gestion des actifs détenus par Soros et sa famille.

L’achat de titres de Google par Soros en 2011 a fait de Google sa cinquième plus grande possession, soit environ 7,3% de son portefeuille Quantum.

Puis, au premier trimestre de 2013, Soros Fund Management LLC a augmenté sa position dans Google une fois de plus.

En décembre 2016, à la suite de la perte d’Hillary Clinton face à Donald Trump, l’Open Society Foundations de Soros, qui avait investi plus d’un million de dollars dans la campagne, a rejoint Google en investissant entre 50 et 100 000 dollars dans une réunion en 2003 organisée par l’ancien président de campagne de Clinton, John Podesta.

Neera Tanden, la présidente du Center for American Progress, a déclaré le 15 décembre 2016 que le but de son organisation était « d’être le noyau central de la résistance de Trump et de tenir Trump responsable des promesses qu’il a faites ».

Le 6 février 2017, Google News Lab a annoncé la création d’un nouveau projet « Fake News », présenté par CrossNews, comme un effort de collaboration entre journalistes, salles de rédaction et sociétés de médias sociaux qui semble viser la censure afin d’empêcher les chances de Le Pen de gagner l’élection présidentielle française.

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