mercredi, 11 janvier 2017 08:27

Vladimir Poutine: La pédophilie est essentiellement satanique

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Traduction par William

Évidemment, pédophiles, néo-cons, et autres agents du Nouvel Ordre Mondial ne pardonneront jamais à Poutine de leur donner si mauvaise réputation. Si ces gens se conduisent selon une idéologie satanique, dit Poutine, alors ils sont sur « le chemin de la dégradation. »

Connaissez-vous un politicien occidental qui puisse répondre à des questions, même d’opposants virulents, pendant quatre heures? Est-ce que de récente mémoire un dirigeant occidental a pu le faire?  George W. Bush? Obama? Peut-être Angela Merkel?

Eh bien, Vladimir Poutine a été en mesure de le faire. En fait, il a fait exactement cela à la fin du mois dernier. Tout au long de son discours et de la période de discussion subséquente, Poutine a de nouveau soulevé la question morale dans l’arène politique, qui est inexorablement à la racine de presque tous les conflits politiques actuels au Moyen-Orient et ailleurs. Poutine n'a certainement pas mâché ses mots :

« De nombreux pays occidentaux ont pris un chemin où ils nient ou rejettent leurs propres racines, y compris leurs racines chrétiennes, qui forment la base de la civilisation occidentale. Dans ces pays, le socle moral et toute identité traditionnelle sont niés – les identités nationale, religieuse, culturelle et même les identités de genre sont niées ou relativisées. »  [1]

Le fait qu'il ait soulevé les questions d'identité de genre, dont il a dit qu’elles « sont niées ou relativisées, » est un reproche ciblé fait au satanisme, qui articule essentiellement l'idée dévergondée que la morale ne devrait pas jouer un rôle dans l'identification des sexes et que la pédophilie est tout simplement une relique du passé.

Ceci est également un reproche visant des satanistes de premier plan comme Sigmund Freud et Wilhelm Reich, qui postulèrent que la libération sexuelle devrait être poursuivie à tout prix. C’est ce que Reich voulait dire quand il a postulé dans sa Révolution sexuelle :

« La première condition préalable à l'amélioration des relations humaines et sexuelles est la rupture absolue avec ces points de vue moraux qui fondent leurs commandements sur des dispositions prétendument surnaturelles ou sur des lois arbitraires ou simplement sur la tradition. Les lois de la morale devraient également être fondées sur les connaissances acquises par la science progressiste. » [2]

Comme les encyclopédistes français, Reich est délibérément tombé dans le piège selon lequel la vraie science peut vraiment entrer en contradiction avec la morale, alors qu'en fait, la morale est essentiellement la pierre angulaire ou le pilier sur lequel repose toute véritable entreprise scientifique. Il ne fut pas le seul à être délibérément tombé dans ce piège. Charles Darwin l’a précédé.

Darwin avait exclu la moralité de son projet intellectuel, et, de façon prévisible, a rapidement fini par vivre une contradiction flagrante. « Tout dans la nature, dit Darwin, est le résultat de lois fixes ». [3] Darwin est arrivé à cette conclusion parce qu'il a commencé à embrasser ce que ses biographes Adrian Desmond et James Moore appellent « un matérialisme terrifiant », selon lequel « l’esprit humain, la morale, et même la croyance en Dieu étaient des artefacts du cerveau… »  [4]

En ce sens, Darwin croyait que la morale a été créée par l'évolution, non découverte. [5] Selon l'historien de la biologie Peter J. Bowler, Darwin

« essayait de tourner la morale en une branche de la biologie par la proposition que notre comportement instinctif peut seulement être compris comme le produit de processus naturels qui nous ont adaptés à un mode de vie particulier sur la base de la cellule familiale comme moyen d'élever des enfants. »  [6]

Si tout, y compris la morale, est l'artefact du cerveau, si notre comportement est « instinctif, programmé par l'évolution dans la structure même de notre cerveau », et si « la morale est simplement la rationalisation de ces instincts sociaux, » [7] alors il n'y a pas de responsabilité morale. Nous ne pouvons alors tout simplement pas condamner des actes immoraux et des personnes immorales comme Benjamin Netanyahu et les empires oligarchiques comme Goldman Sachs.

De plus, Darwin pensait que « l'esprit de l'homme était de toute façon issu de celui du vers. Ce fut le pivot. » [8]

Si la morale ne fait pas partie de l'équation, alors il ne reste foncièrement plus que les conflits, la force et la puissance. En bref, la survie du plus fort. Darwin était sérieux quand il a dit :

« Il y a des raisons de croire que la vaccination a préservé des milliers de gens qui, à cause d'une faible constitution, auraient jadis succombé à la petite vérole. Ainsi, les membres faibles des sociétés civilisées se reproduisent. Quiconque s’est occupé d'élevage d'animaux domestiques ne peut douter que cela doive être très préjudiciable à la race humaine.

« Surprenante est la vitesse à laquelle un manque de soins, ou des soins mal avisés, conduit à la dégénérescence d'une race domestique; mais, à l'exception de l'homme lui-même, personne n’est assez ignorant pour permettre à ses pires animaux de se reproduire. » [9]

Ce n’est pas par hasard que le darwinisme et le capitalisme sont des âmes sœurs. [10] Comme le souligne l’historien de la biologie Peter J. Bowler, Darwin

« a projeté l'ethos concurrentiel du capitalisme sur la nature et ensuite plié toutes ses observations à s’insérer dans le modèle qu’il s’est imposé. Darwin n'a pas découvert la sélection naturelle : il l’a inventée et ensuite vendue à un monde qui ne fut que trop disposé à voir ses propres valeurs gagner une justification ‘naturelle’.

« Les efforts des scientifiques pour dépeindre Darwin en  chercheur purement objectif sont simplement un dispositif utilisé pour dissimuler les fondements idéologiques de la science elle-même. » [11]

Darwin a compliqué les choses quand il a déclaré qu'il « préférerait plutôt descendre d'un héroïque petit singe qui a sacrifié sa vie que d'un sauvage  « se plaisant à torturer ses ennemis, offrir des sacrifices sanglants, pratiquer l'infanticide sans remord, traiter ses femmes comme des esclaves, ne connaissant pas la décence, hanté par les superstitions les plus grossières. » [12]

Alors, qu’en est-il, Darwin?

Philosophiquement et idéologiquement, Darwin veut être cruel envers les « imbéciles ». En fait, il a dit très explicitement que les « imbéciles » devraient être éliminés. Pourtant, en pratique, le même Darwin se plaignait que les « sauvages » ne devraient pas prendre plaisir à se torturer les uns les autres. Darwin n'a même pas accepté l'idée que la morale pourrait être « objective et universelle »! [13] En fait, il croit que « Le monde naturel n'a aucune validité ou but moral ». [14]

Jusqu'à ce jour, les héritiers intellectuels de Darwin comme Bradley A. Thayer n'ont pas encore résolu la contradiction interne existant dans leur propre Weltanschauung, dont ils veulent désespérément qu’il soit vrai.

Quand tout est dit et fait, Darwin préférait vivre en contradiction plutôt que de laisser le devoir moral guider sa pensée. Il soutient la thèse selon laquelle les « imbéciles » ne méritent pas de vivre, mais il a répudié les gens qui ont mis cette idée en pratique.

La moralité objective n'existe pas et même l'infanticide est mû par un mécanisme darwinien, [15] mais il est mauvais pour les sauvages de commettre l'infanticide et de pratiquer des sacrifices humains. Ce qui est plus intéressant est que Darwin pensait qu'il était sage d'imposer cette loi « objective » aux sauvages!

Darwin colportait essentiellement des mensonges en criant : « la science! » pour faire avancer un système métaphysiquement incohérent et sans valeur. Il préconisait le génocide et virait de bord pour condamner ceux qui l’avaient pratiqué. À ce jour encore ses héritiers intellectuels utilisent encore le mantra de la « science! » pour faire taire penseurs et sceptiques. [16]

Comme le philosophe de la science et athée Michael Ruse l'a récemment affirmé, le darwinisme est maintenant une religion à part entière, avec ses propres prêtres et doctrine. [17] D'autres philosophes tels que James Rachels ont fait valoir que les disciples de Darwin sont parfois réticents à suivre les implications morales de son système jusqu’à leurs conclusions logiques parce qu'elles sont existentiellement invivables ou « moralement pernicieuses ». [18]

Les héritiers intellectuels de Darwin négligent toujours son rejet de la moralité objective, mais voient avec une clarté étonnante que la moralité objective doit être prise en compte en confrontant le sionisme et d'autres mouvements révolutionnaires juifs. G.K. Chesterton aurait explosé la tête de ces gens et leur aurait demandé de revenir à leurs esprits. Comme il le disait :

« Dans son livre sur la politique [le révolutionnaire moderne] attaque ceux qui foulent aux pieds la morale; dans son livre sur l'éthique, il attaque la moralité qui foulerait aux pieds les hommes. Par conséquent, l'homme moderne en révolte est devenu pratiquement inutile à toutes fins de révolte. » [19]

En d'autres termes, Darwin est pratiquement inutile quand il est question de moralité et de répondre à des questions métaphysiques d'une manière logique. Et qu’il l’eut aimé ou non, Darwin articulait essentiellement la vision des riches et puissants dans des livres tels que The Descent of Man.

Qu'il l’ait voulu ou non, Darwin légitimait essentiellement le sionisme, qui arrivait sur la scène politique lorsque le darwinisme social a commencé à prospérer en Europe et en Amérique à l'aube du XXe siècle.

En ce sens, les darwinistes qui critiquent le sionisme ne le font pas sur la base du darwinisme, mais sur la base de la morale, que Darwin lui-même rejetait. En bref, le darwinisme est une maison pleine de fumée, métaphysiquement incohérent et donc pratiquement sans valeur.

Poutine est évidemment assez intelligent pour réaliser que si l'Occident doit survivre, ses politiciens et penseurs doivent revenir à la morale et la laisser guider leurs actions. Il n'y a pas d'autre moyen de suivre le bon sens. Ceci est encore une attaque indirecte contre des gens comme Wilhelm Reich.

Reich avait compris que la morale devait être rejetée pour que sa révolution sexuelle ait lieu. Il a dit très franchement que

« Nous ne voulons pas voir l'attraction sexuelle naturelle qualifiée de « péché, »  la sensualité combattue comme quelque chose de vil et bestial ; la « conquête de la chair » a créé le principe directeur de la morale! »  [ 20]

Ce que Reich entend par « attraction sexuelle naturelle » est que si un homme de cinquante ans veut coucher avec un enfant de 10 ans, alors cette « attraction sexuelle naturelle » ne devrait pas être interdite. En d'autres termes, Reich défendait la pédophilie et les autres déviances sexuelles.

« L’inhibition sexuelle », dit Reich, « empêche l'adolescent moyen de penser et de sentir d'une manière rationnelle. » Il en vint à dire que « Si l'on réussit à se débarrasser de la peur juvénile de la masturbation, et alors la génitalité exige gratification, il s’en suit que la compréhension intellectuelle et la satisfaction sexuelle l'emportent et deviennent affaire d’habitude. » [21]

Reich était évidemment muet sur le but. Adepte d’une idéologie essentiellement talmudique, il devait postuler que la corruption d'enfants par le biais de la perversion sexuelle les conduirait à « une compréhension intellectuelle.» Mais il devait aussi présenter sa perversion dans le langage de la « moralité ».

« Pour nous, » écrivait-il dans sa Révolution sexuelle, la « morale sert, dans des circonstances données et selon nos meilleures connaissances, le développement de la personnalité individuelle, l’orientation de tous vers des formes plus élevées et plus parfaites de la vie. » [22]

Bien sûr que la morale doit servir « l’orientation de toutes les personnes vers des formes plus élevées et plus parfaites de la vie, » mais comment cela s’enligne-t-il avec la propre idée de Reich que corrompre les enfants avec de la perversion sexuelle va mener à une « vision intellectuelle? » Et il croyait sérieusement que ce mode de vie conduirait à une « formes plus élevée et plus parfaite de la vie ? » N’avons-nous pas vu le résultat de ce non-sens ces soixante dernières années? [23]

Eh bien, Reich n’était pas vraiment aussi stupide. Encore une fois, il taisait seulement son but. Il a écrit: « Les rapports sexuels en eux-mêmes ne sont ni moraux ni immoraux. Nés d'une forte pulsion naturelle, ils ne deviennent ceci ou cela que par les opinions et les circonstances les accompagnant ». [24]

Nous sommes confrontés à un problème fondamental. Si « les rapports sexuels n’ont pas de dimension morale », alors les femmes qui ont accusé Bill Cosby d'avoir commis des actes sexuels obscènes ont fait une grave erreur.

Si Reich a raison, alors le viol n’existe pas, et si le viol est juste une activité amorale, alors les acteurs et actrices d'Hollywood ne peuvent pas se plaindre d'être violés non plus. Là encore, nous constatons que le darwinisme et l'esprit révolutionnaire juif sont des cercles concentriques, car le darwinisme nous dit que le viol a un fondement biologique, [25] une thèse incohérente supprimant évidemment la dimension morale.

La chose intéressante est que la culture déracinée ne s’est jamais manifestée pour condamner Reich pour sa perversion! Et Darwin est encore vénéré dans les milieux universitaires sur toute la planète.

Reich, qui projette sa propre libération sexuelle sur le monde, [26] a tenté de fonder sa perversion en biologie. Mais comme James E. Strick lui-même l’a récemment souligné,

« Il n'y a aucune raison de regarder de plus près la science de Reich parce qu'il n'y avait pas de science légitime chez Reich - même si on lui attribue du talent en tant que thérapeute et analyste politique ou social. » [27]

Ce qui est intéressant à propos de Poutine c’est qu'il a indirectement attaqué les satanistes comme Reich. Il a formulé l'idée que « le fondement moral et de toute identité traditionnelle se voient niés » en Occident. « Là, a-t-il poursuivi, la politique traite une famille nombreuse comme égale à un partenariat homosexuel ( juridiquement ). » Puis Poutine a largué la bombe politique, ce qui en fait évidemment un méchant aux yeux des satanistes et des agents du NWO :

« Les excès et les exagérations de la rectitude politique dans ces pays conduisent en effet à une sérieuse considération de la légitimation de partis favorisant une propagande en faveurs de la pédophilie. Les gens dans de nombreux pays européens ont en fait honte de leurs affiliations religieuses et sont effrayés d'en parler. »

Poutine a répété que s'il n'y a pas de morale, alors « la dégradation et primivitisation de la culture » est une étape logique. [28]

« Quelle meilleure preuve de la crise morale de la société occidentale que la perte de sa fonction reproductrice? Et aujourd'hui, presque tous les pays occidentaux « développés » n’arrivent plus à se reproduire, pas même avec l'aide des immigrants ... sans les règles et les valeurs morales qui se sont formées et raffinées au cours des millénaires, les gens vont inévitablement perdre leur dignité humaine et devenir des brutes. »

Poutine a continué à déconstruire l'idéologie du Nouvel Ordre Mondial de cette façon : « Il faut respecter le droit de toutes les minorités à l'autodétermination, mais en même temps, il ne peut pas et ne doit pas y avoir le moindre doute sur les droits de la majorité. »

Voilà pour l'affirmation selon laquelle Poutine serait contre la démocratie et qu'il chercherait à persécuter les groupes minoritaires en Russie. Poutine sait évidemment que les groupes minoritaires doivent être protégés, mais en même temps, ils ne peuvent pas imposer leur idéologie à la majorité. De plus, ils ne peuvent pas chercher à renverser l'ordre moral. Purement et simplement..

Évidemment les pédophiles, les néo-cons, et autres agents du Nouvel Ordre Mondial ne pardonneront jamais à Poutine parce qu'il les fait vraiment mal paraître. Si ces gens professent une idéologie satanique, dit Poutine, alors ils sont sur « la voie de la dégradation. » [29]

Nous sommes d'accord. Quelle est la solution? Ces gens doivent faire un virage et faire de la raison pratique, ou Logos, leur pain quotidien. Comme C.S. Lewis l'a dit, « Si vous êtes sur la mauvaise voie, le progrès signifie faire demi-tour et revenir vers le bon chemin; et dans ce cas l'homme qui revient plus tôt est le plus progressiste. »

[1] “Putin Criticizes Western Countries for Abandoning Christian Roots,” Free Republic, December 28, 2016.

[2] Wilhelm Reich, The Sexual Revolution: Toward a Self-Regulating Character Structure (New York: Farrar, Straus and Giroux, 1945 and 1974), 54.

[3] Charles Darwin, The Autobiography of Charles Darwin: 1809-1882 (New York: W. W. Norton, 1958), 87.

[4]  Adrian Desmond and James Moore, Darwin: The Life of a Tormented Evolutionist (New York: W. W. Norton, 1991), xvii.

[5] For further studies on this, see Peter J. Bowler and David Knight, Charles Darwin: The Man and His Influence (Cambridge: Cambridge University Press, 1996), 183-184.

[6] Ibid., 183.

[7] Ibid., 85.

[8] Desmond and Moore, Darwin, 239.

[9] Charles Darwin, The Descent of Man, and Selection in Relation to Sex (New York: D. Appleton and Co., 1896), 1: 168.

[10] See E. Michael Jones, Barren Metal: A History of Capitalism as the Conflict Between Labor and Usury (South Bend: Fidelity Press, 2014).

[11] Peter J. Bowler, Charles Darwin: The Man and His Influence (Cambridge: Cambridge University Press, 1990), 8.

[12] Quoted in Janet Browne, Charles Darwin: A Biography, vol. 2 (Princeton: Princeton University Press, 2002), 342-343.

[13] Ibid., 392.

[14] Ibid., 54.

[15] See Glenn Hausfater and Sarah Blaffer Hrdy, eds., Infanticide: Comparative and Evolutionary Perspectives (New York: Aldine Publishing, 1984).

[16] For recent critiques of Darwinism, see Thomas Nagel, Mind & Cosmos: Why the Materialist Neo-Darwinian Conception of Nature is Almost Certainly False (New York: Oxford University Press, 2012); Alvin Plantinga, Where the Conflict Really Lies: Science, Religion, and Naturalism (New York: Oxford University Press, 2011); Jerry Fodor and Massimo Piattelli-Palmarini, What Darwin Got Wrong (New York: Picador, 2010).

[17] Michael Ruse, Darwinism as Religion: What Literature Tells Us about Evolution(New York: Oxford University Press, 2016).

[18] James Rachels, Created from Animals: The Moral Implications of Darwinism (New York: Oxford University Press, 1990), 4.

[19] G. K. Chesterton, Orthodoxy (London: Hodder & Stoughton, 1996), 52-53.

[20] Reich, The Sexual Revolution, 54.

[21] Quoted in E. Michael Jones, The Catholic Church and the Cultural Revolution (South Bend: Fidelity Press, 2016), kindle edition.

[22] Reich, The Sexual Revolution, 55.

[23] For a cultural history on this, see E. Michael Jones, Libido Dominandi: Sexual Liberation and Political Control (South Bend: St. Augustine’s Press, 2000); Degenerate Moderns: Modernity as Rationalized Sexual Misbehavior (South Bend: Fidelity Press, 2012).

[24] Ibid.

[25] Randy Thornhill and Craig T. Palmer, A Natural History of Rape: Biological Bases of Sexual Coercion (Cambridge: MIT Press, 2000).

[26] See for example Myron Sharaf, Fury on Earth: A Biography of Wilhelm Reich (New York: Da Capo Press, 1994); Christopher Turner, Adventures in the Orgasmatron (New York: Farrar, Straus and Giroux, 2011).

[27] James E. Strick, Wilhelm Reich, Biologist (Cambridge: Harvard University Press, 2015), 3.

[28] “Putin Criticizes Western Countries for Abandoning Christian Roots,” Free Republic, December 29, 2016.

[29] Quoted in Marc Bennetts, “Who’s ‘godless’ now? Russia says it’s U.S.,” Washington Times, January 28, 2014.

Source : veteranstoday.com

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