Comme indiqué précédemment dans un article de Morning News USA, le niveau d’alerte sécurité aux États -Unis et au Canada a été porté à DEFCON 3 , ce qui n’est rien moins que préoccupant. Vigilant Shield, un exercice de commandement par NORAD, le Commandement de la défense aérospatiale de l' Amérique du Nord a été anticipé et débutait en grande jeudi dernier, beaucoup plus tôt que prévu.

On peut en dire autant de Global Thunder, un exercice militaire dirigé par le U.S. Air Force Global Strike Command (AFGSC).

Vigilant Shield et Global Thunder sont généralement tenus au cour du mois de Novembre.

Dans toute l’Amérique du nord de nombreuses sirènes d’attaques aériennes et des décollages d’avions de chasse ont été rapportés dans les médias sociaux, témoignant d’une crainte d’une attaque imminente. San Diego, Tacoma et même le Canada ont signalé des détonations de tirs d'artillerie, bien que la condition actuelle DEFCON 3 ne soit que le code jaune.

Morning News USA rapportait plus tôt que les bases militaires aux États-Unis et au Canada « bourdonnent d'activité ». La condition anticipée semble être une invasion de grande envergure.

CNN commentant ainsi la nouvelle, "Ce n’est pas une nouvelle guerre froide. Ce n’est même pas un refroidissement marqué. C’est un conflit pure et simple. "

NORAD a publié samedi une annonce de service public au sujet de l'intensité accrue de ses exercices.

Pendant ce temps, en Russie, les citoyens reçoivent des instructions  sur la préparation à une attaque nucléaire, en plus d’être encouragés à chercher des abris et à s’équiper de masques à gaz, a rapporté le site web britannique Express.

Le président Vladimir Poutine a en effet ordonné la tenue d’un exercice militaire d'évacuation de 40 millions de personnes, une situation les États-Unis ne devraient à aucun prix négliger.

Il n'y a présentement pas de menace imminente de guerre nucléaire contre les Etats-Unis, rapportait un correspondant de Morning News USA, mais la situation est considérée comme fluide et peut donc changer rapidement.

Le soutient par la Russie du président syrien Bachar al-Assad en dépit d'un accord pour combattre conjointement l'ISIS en Syrie est la raison présumée de discorde avec les États-Unis. Apparemment, c’est pour cette raison que les États-Unis et la Russie semblent se préparer à la guerre.

Source : morningnewsusa.com