Traduction par William

Le Réseau d’Éducation Gay, Lesbienne et Hétérosexuel (GLSEN) va à nouveau tenter d’enfoncer son idéologie sexuelle dans la gorge et dans les cœurs et les esprits des enfants des autres par le détournement des écoles publiques pour la manifestation politique appelée le Jour du Silence (Etats-Unis).

Le vendredi 21 avril 2017  GLSEN va demander aux élèves de refuser de parler toute la journée en appui de la promotion de ses hypothèses gauchistes sur l'homosexualité et la dysphorie de genre à des milliers de collèges et lycées dans tous les États-Unis.

Le GLSEN qualifie risiblement cet événement de « dirigé par des étudiants » , tout en offrant 15 ressources  pour orienter les étudiants vers l'activisme scolaire pro-homosexuel.

Ces ressources n’incluent pas la marchandise que le GLSEN vend pour orner les étudiants durant ce Jour du Silence, la Semaine de l’Allié, et autres semblables manifestations. Cette marchandise comprend des t-shirts, épingles, tatouages ​​temporaires, porte-clés, bracelets, cordons, chaussettes, sweat-shirts, pulls à capuche et une veste de camionneur en denim de 500 $ fabriquée par « Levi Brand. »

Bien que techniquement ce sont des étudiants - souvent des étudiants qui font partie des clubs « gay » dans les écoles - qui parrainent la Journée du Silence, toutes leurs activités sont dirigées par le GLSEN,  une organisation biaisée et gauchiste. Voici quelques-uns des «  documents  de démarrage » du GLSEN pour aider les élèves à démarrer les clubs « gay » (également connu sous le nom Alliances des Gay et Straights) dans leurs écoles:

• « Construire et activer votre [Alliance Gay et Straight] ou Club étudiant »
• « Stratégies pour former les enseignants »
• « Comprendre l’organisation de l'action directe »
• « Pouvoir, privilège et oppression »
• « Votre club étudiant inclusif des Trans »

En outre, le GLSEN intéresse la participation à la Journée du Silence en offrant du matériel gratuit à tous les participants et du  « butin » extra aux « 3,000 premiers inscrits. »

En plus de la Journée du Silence, il y a de nombreuses tendances dans les écoles élémentaires et secondaires  publiques concernant les sujets controversés de l'homosexualité et de la dysphorie de genre rendant nécessaire une vigoureuse réponse publique:

• Un nombre croissant d'écoles permettent aux étudiants de sexe dysphorique de partager des toilettes et des vestiaires avec des étudiants du sexe opposé, y compris même dans les écoles élémentaires, et souvent sans notification parentale.

• Les enseignants - qui sont des employés du gouvernement - sont forcés par le gouvernement de mentir en étant contraints de se référer aux étudiants de sexe dysphorique par les pronoms qui désignent le sexe opposé.

• Les filles sont autorisées à se présenter à l’élection du roi du bal, et les garçons peuvent être reine du bal.

• Les écoles élémentaires marchent dans les défilés de la fierté « gay ».

• Les écoles de Californie sont légalement tenues d'enseigner de manière positive les sujets de l' homosexualité et de la dysphorie de genre dans tous les cours d’études sociales dans les classes de 6^e à 12^e année, et toutes les ressources qui épousent les opinions dissidentes sont légalement censurées.

• Les écoles - y compris les écoles élémentaires -  favorisent les visions gauchistes de l'homosexualité et de la dysphorie de genre dans les programmes d'éducation sexuelle, les présentations sur la « diversité familiale » les programmes de prévention de l'intimidation et par des normes d'apprentissage « social et affectif ».

• Les écoles élémentaires rendent disponibles dans leurs bibliothèques des livres d'images qui mettent en scène de façon positive l'homosexualité.

• Les écoles accueillent des danses pour les étudiants homosexuels.

• Les départements de théâtre des écoles  montent des productions des pièces The Laramie Project,  Zanna, Don’t ! et Rent. Et les professeurs d'anglais enseignent Angels in America , The Laramie Project , et The Perks of Being a Wallflower.

• Les professeurs de cinéma montrent Brokeback Mountain .

• Les écoles favorisent la normalisation de l'homosexualité et de la confusion entre les sexes par le Spirit Day, Ally Week, National Coming Out Day, le Mois de l'histoire « LGBT », et la reine de tous les jours d'affirmation de l'homosexualité: la Journée du Silence.

Que peuvent les parents et les enseignants?

Alors que les « progressistes » dans et à l' extérieur des écoles utilisent d’innombrables ressources et activités pour promouvoir la normalisation de l' homosexualité et la dysphorie de genre, il n'y a qu'un seul événement annuel organisé qui permet aux conservateurs d'exprimer leur opposition au détournement des écoles publiques aux fins pernicieuses de l’activisme homosexuel: le Day of Silence Walkout , qui offre plusieurs façons de s’opposer au Jour du Silence:   

·       1.) Le Day of Silence Walkout est parrainé par une coalition d'organisations pro-famille qui exhortent les parents à garder leurs enfants à la maison le Jour du Silence si leurs administrations scolaires permettent aux étudiants  ou enseignants de refuser de parler pendant le temps de classe du Jour du Silence. La Day of Silence Walkout Coalition ne s'oppose pas au silence des élèves pendant les entre-périodes ou les périodes libres,  mais ni les enseignants ni les élèves ne devraient être autorisés à refuser de parler pendant le temps d'enseignement.

·       2.) Les parents devraient insister pour que leurs administrations scolaires les informent tous que cette action politique se tient le 21 avril ainsi que sur ce que les élèves seront autorisés à faire ou ne pas faire durant ce Jour du Silence.

·       3.) Les enseignants conservateurs devraient planifier des activités qui requièrent la participation des étudiants. L'ACLU (American Civil Liberties Union) - qui soutient la Journée du Silence - a publié la déclaration suivante: « [Les étudiants] n’ont pas le droit de garder le silence dans un cours si un enseignant les interroge. »

·       Depuis des années, les enseignants modifient leurs plans de leçon pour accommoder le silence des étudiants, créant des plans de cours pour renforcer l'idéologie de la Journée du silence du GLSEN, ou participent eux-mêmes à la Journée du Silence. Il est temps pour les enseignants conservateurs de faire quelque chose de constructif et de courageux pour empêcher l’accaparement du temps d’enseignement par de tels tripotages politiques.

Chaque année, une nouvelle cohorte d’élèves entre dans les écoles secondaires dont les parents croient naïvement que les écoles publiques valorisent la diversité, reconnaissent toutes les voix, encouragent la pensée critique et se sont engagées à créer un lieu « sûr » pour que s’expriment tous les points de vue. Ces parents et beaucoup d'autres dont les enfants reviennent à l’école n’ont aucune idée de la mesure de la propagande pro-homosexualité saturant leurs écoles. Et beaucoup n’ont jamais entendu parler de la Journée du Silence.

Le Day of Silence Walkout avertit les parents de l'exploitation de leurs écoles publiques au service de la transformation des croyances morales et politiques de leurs enfants.

Le Jour du Silence n'est pas principalement consacré à l'éradication de l'intimidation, un but qu’appuient tous les honnêtes gens. Au contraire, les organisateurs de la Journée du Silence, ainsi que ses promoteurs et participants cherchent à exploiter le sentiment anti-intimidation légitime pour normaliser l'homosexualité et le culte « trans ». En dépit de ce que dit le GLSEN, il est possible de s'opposer à l'intimidation et à la Journée du Silence du GLSEN.

Le Day of Silence Walkout offre un moyen simple et sûr pour les parents d'exprimer aux administrations scolaires, conseils scolaires et enseignants des enfants leur opposition à la promotion de croyances gauchistes non factuelles sur la sexualité désordonnée dans les écoles publiques financées par les contribuables.

Les absences des élèves coûtent de l'argent aux écoles, et souvent cela compte beaucoup plus pour les administrations scolaires et les conseils scolaires que les croyances et les sentiments des parents.

Source : illinoisfamily.org