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Mike Deschamps
De nos jours, il n’y a plus de limite à la bêtise. La maladie gauchiste castratrice n’en finit plus de faire des émules. Le féminisme moderne, comme les autres mouvements, n’échappe pas à la déchéance humaine. On peut même d’ailleurs se demander à quel moment nous toucherons le fond tellement la chute est vertigineuse. Marjorie Champagne, (comme Kathy Wong [ii]) féministe et chroniqueuse au Journal de Montréal s’inscrit dans cette mouvance. Il y a de quoi s’inquiéter. Cette égalitarisme qui pousse à la haine de sa propre identité et à la haine de nos congénères, que certains soumis à l’idéologie libérale anglo-saxonne appelle du « marxisme culturel », est en fait issue de l’illuminisme des Lumières. C’est cette ligne directrice, vieille de 300 ans, qui pousse notre société occidentale droit dans le mur.
Victimes du gauchisme occidentale
Comme Cathy Wong, le féminisme de Marjorie Champagne est purement émotionnel. L’une souffrait de son identité de femme chinoise [ii], l’autre a subi un lavage de cerveau par sa mère [i].
Dans son article « Parité : un effort SVP ! »[iii] elle considère que Festival d’été de Québec devrait « redoubler d’efforts pour atteindre la parité ». Dans la réalité un artiste homme ou femme se retrouve propulsé au-devant de la scène si il ou elle a un certain talent (et que parallèlement cette personne soit rentable). La musique c’est aussi une affaire de goût. Bien que comme le souligne Marjorie Champagne, « 46 festivals et salons professionnels, en Europe et en Amérique du Nord, se sont engagés à ce que leurs têtes d’affiche, jurys et commissions soient composés au moins de 50 % de femmes. », le public lui, ne choisit pas sa musique en fonction du sexe de l’artiste.
L’absurdité
Marjorie Champagne pousse son article jusqu’à l’absurde. Elle fait un parallèle avec « La diversité des voix à l’assemblée nationale » et admet son irrationalité : il faudrait imposer une parité même si dans un cas particulier, un homme aurait un meilleur programme qu’une femme dans le domaine politique. Voilà où nous en sommes. La déchéance de la société occidentale commence par là.
Le ridicule ne tue pas…
Heureusement pour ces féministes, le ridicule ne tue pas. Cette idéologie castratrice prend de l’ampleur, allant même chercher de jeunes filles. Nous assistons presque impuissants au suicide de notre civilisation. Il ne faut donc pas lutter uniquement contre une immigration qui ne s’assimile plus et qui impose ses valeurs mais lutter aussi pour se réapproprier nos propres valeurs sans quoi, notre civilisation disparaitra.
[i] https://noussommestousdespussy.wordpress.com/2013/03/05/marjorie-champagne/
[iii] https://www.journaldemontreal.com/2018/07/20/parite-un-effort-svp
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