mercredi, 06 aout 2014 13:20

La théorie du genre, un virus idéologique

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Mike Deschamps

Nous venons de franchir une nouvelle étape idéologique dans la direction du nouvel ordre mondial. Des parents en Allemagne concernés par l’éducation de leurs enfants, viennent d’être jetés en prison pour quarante jours, pour n’avoir pas laissé leurs rejetons prendre le cours de la théorie du genre.

Ce qui est alarmant c’est que plusieurs pays européens visent cet objectif. A quand le tour du Canada et du Québec ?

Mais d’abord qu’est-ce que la théorie du genre ?

Le genre est un concept utilisé en sciences sociales pour désigner les différences non biologiques entre les femmes et les hommes.

Alors que le sexe fait référence aux différences biologiques entre femmes et hommes, le genre réfère aux différences sociales, psychologiques, mentales, économiques, démographiques, politiques, etc.

Le genre est l'objet d'un champ d'études en sciences sociales, les études de genre. Ce concept est apparu dans les années 1950 dans les milieux psychiatriques et médicaux, aux États-Unis. À partir des années 1970, le genre est fréquemment utilisé par les féministes pour démontrer que les inégalités entre femmes et hommes sont issues de facteurs sociaux, culturels et économiques plutôt que biologiques.[a]

 

Pour être plus précis sur ce virus idéologique…[b]

Le docteur John Money a inventé le concept de Genre. Il militait pour la pédophilie. Son mentor, Alfred Kinsey, menait des expériences sur les orgasmes des enfants. Et le psychiatre James Krivacska, avec qui Money a écrit huit livres, a été condamné pour pédophilie sir cinq de ses patients…

 

Qui était John Money ? [a]

 

Né à Morrinsville en Nouvelle-Zélande, d'une famille issue du courant des Frères de Plymouth, John Money étudie la psychologie à l'université Victoria de Wellington et y obtient un double master en psychologie et éducation fin 1944. En 1947, à l'âge de 26 ans, il émigre aux Etats-Unis pour étudier à l'Institut Psychiatrique de l'université de Pittsburgh puis obtient son PhD à l'université de Harvard en 1952. Il a été brièvement marié dans les années 50 et n'a pas eu d'enfants.

 

Au cours de sa carrière, Money propose et développe plusieurs théories auquel il associe une terminologie spécifique : l'identité de genre, les rôles de genre, et les lovemaps (en). Money fut professeur de pédiatrie et de psychologie médicale à l'université Johns Hopkins de 1951 à sa mort. Durant cette période, il participa au département sur les comportements sexuels (Sexual Behaviors Unit), qui lança des études sur la chirurgie de réattribution sexuelle. La Société allemande pour la recherche socio-scientifique sur la sexualité (en) lui décerne la médaille Magnus Hirschfeld en 2002.

 

 

 

Money était un grand amateur d'art néo-zélandais, aussi bien littéraire que visuel. Il était l'ami et le partisan notoire de l'écrivain Janet Frame. En 2002, alors que sa maladie de Parkinson s'aggrave, Money fait don d'une part substantielle de sa collection d'art à l'Eastern Southland Art Gallery de Gore en Nouvelle-Zélande. En 2003, la première ministre de Nouvelle-Zélande, Helen Clark, y inaugure l'aile John Money.

 

Money décède le 7 juillet 2006, à Towson dans le Maryland, des suites de complications de sa maladie de Parkinson.

 

En 2000, David Reimer et son frère jumeau, Brian, déclarèrent que le Dr Money avait pris plusieurs clichés des jumeaux nus durant leur traitement et les forçait à simuler l’acte sexuel, croyant que cela les aiderait à bâtir leurs identités sexuelles respectives[3]. En 2002, le frère jumeau de David fut trouvé mort des suites d'une overdose des médicaments qu'il prenait pour traiter sa schizophrénie. Le 5 mai 2004, peu après avoir rompu avec sa femme, David Reimer se donne la mort. Ses parents ont déclaré qu'ils croyaient que les méthodes de Money étaient responsables du décès de leurs deux fils.

 

Money déclara que la réaction des médias aux révélations était le fait de l’extrême droite et des mouvements anti-féministes. Il déclara notamment que ses détracteurs croyaient que « la masculinité et la féminité étaient d'origine génétique, de sorte que la place des femmes devait être à la cuisine et au lit ». Cependant, les activistes intersexes ont aussi critiqué Money, déclarant que l'échec dissimulé du cas David Reimer avait conduit à la réattribution sexuelle traumatique de milliers d'enfants. D'après ses collègues, en privé, Money aurait été mortifié par le scandale, et personne ne devait l'évoquer en sa présence. Ses propres opinions se développèrent et changèrent au fil des ans.

 

John Money joua un rôle dans les débats sur la chronophilie, incluant l'infantophilie, l'éphébophilie, et la pédophilie. Il affirmait que ni les chercheurs ni le public ne faisaient la distinction entre pédophilie affective et pédophilie sadique. Money croyait que la pédophilie affective se fondait sur l'amour et non sur le sexe. Son opinion était que la pédophilie affective était causée par un surplus d'amour parental qui devenait érotique, et n'était donc pas un trouble du comportement.

 

« Si j'étais témoin du cas d'un garçon âgé de 10 ou 11 ans intensément et érotiquement attiré par un homme d'une vingtaine ou d'une trentaine d'années, et que la relation était totalement réciproque... alors je ne pourrais la qualifier de pathologique en aucune manière. »

 

En revanche, il estimait que l'hétérosexualité était un autre exemple d'un concept sociétal, et donc, idéologique et superficiel.

 

Il a été découvert que Money a écrit dans une revue hollandaise traitant de la pédophilie, Paidika

 

 

Qui est Kinsey ?

 

Un chercheur qui laissait libre court à sa sexualité menant toute sorte d’expériences allant jusqu’au sadomasochisme. Ses expériences ont été financées par la fondation Rockefeller.

 

Les ancêtres de la sexualisation précoce - Alfred Kinsey [c]

(voir la première et la deuxième vidéo à la fin de l'article)

Selon Wardell Pomeroy, qui était le co-auteur des rapports de Kinsey, Kinsey aimait non seulement les écrits homosexuels pervers de Crowley, mais aussi été allé à l'ancien temple du sexe de Crowley en Italie, appelé l'abbaye de Thélème, afin d'obtenir les agendas sexuels de Crowley. Nous révélons dans notre vidéo Le syndrome de Kinsey, que Crowley avait travaillé avec un certain nombre de pédophiles à qui il avait demandé de tenir un journal de sexe, afin de donner des détails sur la réaction des enfants à la molestation. C'est ainsi que Kinsey a pu enregistrer des données dans ses rapports sur des enfants dont des bébés dès l'âge de quelques mois. [f]

Qui est James Krivacska ?

Ce psychiatre, qui a co-écrit ses livres avec John Money a été formellement accusé d’agression envers des enfants :

« Après un procès devant jury, Krivacska a été reconnu coupable d'un chef d'accusation d'agression sexuelle grave, deux chefs de second degré qui mettent en danger le bien-être d'un enfant, et deux chefs de contacts sexuels pénale aggravée. » [d]

Il a été condamné à 26 ans de traitement dans un centre de traitement pour adulte (ADTC).[d]

Il a également été renvoyé par le BOARD OF PSYCHOLOGICAL EXAMINERS en 1999 pour agressions sexuelles contre 2 enfants [e] l’empechant ainsi de continuer à pratiquer son métier de psychiatre.

 

Théorie du genre ou lutte contre l’homophobie ?

Au Québec…

Pas de classiques de la littérature, mais la lutte contre l’hétérosexisme en classe de français, d’anglais, d’histoire et de mathématiques[g]

Une mère écrit :  Son fils est en secondaire II (12 ans, bientôt 13) dans une école québécoise.  En français, on impose au fils la lecture du Trésor de Brion de Jean Lemieux.

Roman anticonservateur où le trésor ce sont des lettres d’amour homo

Selon Tony Esposito dans le magazine homosexuel Homni, « Ce livre est à conseiller que vous soyez adolescent ou adulte, homme ou femme, gai [homo] ou hétéro. L’histoire est bien développée, crédible, entraînante et dynamique. Elle contient, au milieu de la chasse au trésor, des moments importants sur les relations familiales, sociales, amoureuses et sexuelles faisant basculer nos trois héros hors de l’enfance dans le monde des adultes.

L’angle gai [homo] est mince, mais essentiel à l’histoire. Le trésor, c’est le butin du pirate Ratcliffe: pierres précieuses, doublons, etc. ainsi que le calice de Beaubassin, pièce historique. Mais il y a aussi l’autre coffre, celui qui contient les registres de l’Abbé Donnegan et ses lettres d’amour [homosexuel] à Henry Ratcliffe. »

Classique anglais remplacé par une brève BD homo

Ailleurs, un père nous apprend que le classique « Lord of the Flies » de William Golding initialement prévu au programme (320 pages à lire sans images, imaginez-vous !) avait été retiré de façon à faire place à une bande dessinée militante « Pedro & Me » aux dialogues rares et très aérés et cela en cours d’anglais de secondaire IV. L’auteur, Judd Winick, y raconte comment lors d’une émission de télé-réalité en 1992, Real World à San Francisco, il a fait connaissance avec un jeune gay séropositif d’origine cubaine, Pedro Zamora. Activiste engagé dans la prévention du sida, Pedro devient l’ami de Judd. À travers cette amitié, ce dernier va prendre conscience de son ignorance de la maladie. Tout au long de la bande dessinée, l’homosexualité est banalisée et présentée de manière favorable. Le « mariage » homosexuel est également présenté comme normal (même s’il n’est pas reconnu en Californie !)

Cours de français, lecture d’opuscule médiocre sur l’homosexualité

Ailleurs, le père d’un élève inscrit dans une école supposément catholique, rapportait le fait qu’en secondaire IV au cours de français, on rendait obligatoire la lecture du roman Philippe avec un grand H [1]. Selon lui, « Il s’agit d’un livre dont les objectifs sont de contrer l’homophobie, d’une part, et d’aborder le tabou entourant le haut taux de suicide chez les jeunes hommes homosexuels, d’autre part. Il m’apparaît inapproprié d’imposer la lecture de ce roman à des étudiants de secondaire IV 

âgés de 15 ans, et de retirer du programme de français la lecture de grandes œuvres de la littérature française pour faire place à de tels romans qui poursuivent des objectifs de rectitude politique. »

Le parent précise encore : « J’ai par ailleurs fait valoir au directeur qu’il ne faut pas confondre la lutte contre l’homophobie, objectif sans doute louable (voir paragraphe 2358 du CEC), et la promotion de l’homosexualité. »

Le livre est parcouru de certaines longueurs et de clichés à la mode. C’est ainsi que, si Philippe H a le bon rôle, on trouve bien sûr un méchant hétéro macho, foncièrement « malheureux qui agit ainsi pour nier sa nature profonde d’homosexuel » comme l’écrit avec grand style le site des jeunes « allosexuels »… L’auteur de Philippe avec un grand H est d’ailleurs un jeune homosexuel. Une liste de ressources pour ce qu’on désigne comme les « jeunes gais et lesbiennes » est présentée à la fin de l’ouvrage. Reste à savoir si, à 15 ans, on est déjà vraiment homosexuel ou non, si on le sait ou non. Ce n’est pas l’avis de tous les professeurs de psychopathologies…

 

Sexualité précoce à l'école publique québécoise : phénomènes isolés ou vague de fond ?[h]

L’histoire se passe dans une école publique primaire montréalaise. Des filles de cinquième année, le midi, se cachent pour faire des fellations aux petits garçons. En échange, elles leur demandent de l'argent. La sexologue Jocelyne Robert et d'autres professionnelles de l'enseignement relatent leurs expériences en matière de sexualité des jeunes élèves dans les écoles publiques du Québec.

On se rappelera que Le Devoir avait déjà publié en 2005 une série d'articles sur la sexualité des bambines à tresses qui distribuent les fellations dans l'autobus scolaire. Des garçons de 15 ans qui promettent des cadeaux aux petites de l'école primaire d'à côté en échange de faveurs sexuelles. Des adolescentes qui multiplient les « fuck friends ». Des grands de secondaire 4 (14-15 ans) qui font des concours de masturbation en pleine classe. La bamboula du vendredi soir qui revêt des allures d'orgie.

[...]

Dans l'auditorium d'une école secondaire de Montréal, quelques dizaines de parents écarquillaient les yeux et retenaient mal leur ébahissement — et leur souffle — devant les propos de cette conférencière invitée par l'infirmière de l'école pour causer ados et éducation sexuelle.

« Je ne veux pas vous alarmer, mais je crois que la situation que l'on vit actuellement dans les écoles est inquiétante », leur avait d'entrée de jeu lancé la sexologue Francine Duquet. « Les jeunes vivent des expériences sexuelles étonnantes de plus en plus jeunes, et la société hypersexuelle dans laquelle ils baignent banalise le phénomène. »

[...]

« En ce moment, le primaire est notre baromètre », explique Francine Duquet, professeure de sexologie à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). « C'est de là qu'on saisit que ce qui se passe est inquiétant. »

Et restez bien accrochés à vos sièges : dans les écoles, la mode est au fuck friend, et ce « copain de baise » n'a pas besoin d'être unique : on peut le multiplier sans engagement amoureux. Les jeunes filles confient pratiquer la fellation dans la pseudo-intimité des cabinets de toilette, en même temps qu'elles révèlent n'avoir jamais embrassé un garçon.

Sans s'afficher comme lesbiennes, les demoiselles pratiquent allégrement les caresses entre elles pour émoustiller les garçons, qui en redemandent. Les trips à plusieurs dans l'obscurité des sous-sols sont monnaie courante, et il n'est pas rare que les garçons du secondaire reluquent dans la cour de l'école primaire d'à côté pour recruter une nouvelle élue... sexuelle.

Dans une école secondaire de Montréal, la direction a même dû composer avec un drôle de phénomène : assis au dernier rang d'une salle de classe, les garçons se livraient à un concours de masturbation, coursant pour la première éjaculation, au vu et au su des copains et du prof, consterné et paralysé. Pendant ce temps, dans une école primaire, une fillette de neuf ans s'interroge candidement sur la pertinence d'envoyer à son nouveau petit copain une photo de... sa vulve.

 Et l'État québécois voudrait forcer les prudes et pieux mennonites à imiter ces écoles ou à y envoyer leurs enfants ?

 

Le cas de la France…

L'heure est grave...[i]

Le ministre de l'Education Nationale, Vincent Peillon, sur les traces de son prédécesseur Luc Châtel, veut généraliser et officialiser l'enseignement de la « théorie du genre » dans les écoles publiques et privées sous contrat à partir de la rentrée 2014.

Vincent Peillon nie totalement l'existence de ce prétendu projet pédagogique. Najat Vallaud-Belkacem, ministre des droits des femmes et porte-parole du gouvernement, prétend elle aussi que la « théorie du genre » n'existe pas.

(Voir la troisième vidéo à la fin de l'article)

Pendant ce temps là  en Allemagne…[j]

Le 18 janvier 2014, des parents ont organisé en Allemagne, à Cologne, une manifestation contre les cours obligatoires d'éducation sexuelle version gender, où les enfants dès la maternelle sont confrontés à un contenu pornographique explicite les invitant à tester sur eux des pratiques pas encore connues à leur âge.

L'organisateur Besorgte Eltern annonce la présence de plus de 1000 parents lors de cette manifestation. En Suisse, les parents n'ont pas pu interdire la mise en place des cours d'éducation sexuelle dès la maternelle. En Allemagne, plusieurs parents ont déjà été mis en prison 40 jours pour n'avoir pas laissé leurs enfants suivre ces cours. Ainsi l'éducation des enfants n'appartient plus aux parents même dans le domaine si intime de la sexualité. Les effets pervers de ces nouveaux projets se font ressentir chez nos voisins.

Suisse. La ville de Bâle a introduit un coffret, le « Sexbox », contenant du matériel pornographique destiné à l'éducation sexuelle dans les écoles maternelles et primaires. L'association Protection contre la sexualisation à l’école maternelle et à l’école primaire a fait connaître cette initiative, ce qui a « déclenché une tempête d'indignation dans tout le pays» mais qui n'a pas empêché « l'introduction dans les écoles maternelles des cours obligatoires d'éducation sexuelle dans toute la Suisse par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP). Dans le canton de Bâle, des «Sexbox» contenant du matériel pornographique ont été préparées à l’intention des écoles maternelles et primaires ! Des enfants dès l’âge de quatre ans auraient à subir cette sexualisation précoce. »

Allemagne. Ce 18 janvier, plus de 1000 manifestants se sont retrouvés à Cologne pour dénoncer les cours sur le gender à l'école et la détention des parents qui ont refusé ces cours à leurs enfants. Suite à l’absence des enfants dans ces nouveaux cours d'éducation sexuelle, les parents ont reçu une amende à payer. Les récalcitrants ont été envoyés en prison pour 40 jours. Lors de la manifestation de ce 18 janvier, un couple qui a huit enfants, a parlé en public et expliqué qu'ils devaient aller en prison pour avoir refusé les cours sur le gender pour leurs enfants. L'association Besorgte Eltern (parents inquiets) dénombre 10 parents qui ont été mis en prison. « Ce sujet concerne tous les parents. Nous ne sommes pas contre les cours d'éducation sexuelle, mais contre ces cours sur le gender qui sont dispensés dans les écoles primaires et dans les maternelles ».Les organisateurs de la manifestation, se référant à la sociologue Gabriele Kuby qui dénonce le gender, explique que la masturbation doit être enseignée aux enfants dès l'âge de 0 à 4 ans ce qui n'est qu'une incitation au viol des enfants toujours selon Gabriele Kuby. « Le gender ou le sexe social a été démasqué comme un instrument politique du pouvoir pour détruire et déstructurer la société occidentale», explique (hélas en allemand) les auteurs du site dewion24 qui ont soutenu la manifestation du 18 janvier.Pour Gabriele Kuby,L'Union européenne, l'ONU, participent à la mise en place du gender qui est la culture de la mort. « Nous avons de nouveau à faire à une idéologie du mal qui s'oriente contre la famille », dit Gabriele Kuby qui dénonce le féminisme et qui réclame un retour du rôle de l'homme dans nos sociétés occidentales (hélas, en allemand, mais utile pour ceux qui parlent la langue de Merkel). Les associations de parents en Allemagne expliquent que la loi fondamentale n'est plus respectée car les parents ne peuvent plus éduquer leurs enfants selon leurs valeurs.

Pétition. En outre le Land du Bade-Wurtemberg, qui vient de passer entre les mains des Verts et du SPD, veut à partir de 2015 introduire à l'école des cours d'apprentissage de « la tolérance envers les diverses pratiques sexuelles ». L'initiative populaire « Contre le plan d'éducation 2015 de l'idéologie arc-en-ciel » a lancé avec succès une pétition pour retirer le projet des Verts et du SPD. 154.562 personnes ont signé la pétition. L'association Contre le plan d'éducation 2015 explique que les enfants doivent apprendre à connaître et à refléter à l'école les pratiques des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels, du transgender, des transsexuels et des intersexuels. Les Verts du Parlement du Bade-Wurtemberg dénoncent, eux, un climat intolérable contre les homosexuels et les transexuels.

 

Références :

[a]Wikipedia

[b] http://theoriedugenre.wordpress.com/

[c] http://www.crashdebug.fr/Pedopolis/www.pedopolis.com/blog/les-ancetres-d...

[d] http://law.justia.com/cases/new-jersey/appellate-division-unpublished/20...

[e] http://www.state.nj.us/lps/ca/disc/discip99.htm

[f] http://www.gcmwatch.com/tag/alfred-kinsey

[g] http://www.republiquedebananes.com/en-manchette/pas-de-classiques-de-la-...

[h] http://www.pouruneécolelibre.com/2007/08/et-on-voudrait-que-les-mennonites.html

[i] http://www.jre2014.fr

[j] http://french.ruvr.ru/2014_01_22/Allemagne-prison-pour-parents-refusant-...

 

 

Commentaires   

 
0 #4 Louis-Philippe 05-04-2018 14:56
Tout en rejetant ces aberrations, je me demande s'il n'est pas nécessaire de combattre certains préjugés notamment en regard de l'orientation sexuelle. Pour ma part j'ai eu beaucoup de mal à m'accepter et la découverte de mon homosexualité a été une véritable souffrance. Je venais bien sûr d'un milieu conservateur et puritain, mais je ne pense pas être le seul à voir connu cette souffrance qui m'a suivi très longtemps.

Il ne s'agit nullement de remettre en question la norme hétérosexuelle, ni de promouvoir l'homosexualité , mais de trouver un juste milieu. J'évolue dans un milieu depuis de nombreuses années qui condamne l'homosexualité d'une manière unilatérale et absolue. Le but de ce commentaire n'est pas de polémiquer ou de critiquer cet article fort intéressant, mais je me pose des questions et je suis ouvert au débat.
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0 #3 Mike Deschamps 30-10-2016 14:54
@Thais
Vous qui possédez la science infuse, veuillez nous expliquer en quoi consiste le genre. Veuillez vous exprimer en français car votre prochain message en anglais finira au fond d'une poubelle.
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0 #2 Thais 30-10-2016 14:46
What a load of crap... Brain-washing nonsense. You have absolutely no idea what gender is about.
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0 #1 J-P 01-09-2014 22:35
Excellent et très complet, bravo à l'auteur et à tout le monde chez LBDP!
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