Le Tavistock Institute a été fondé en 1947 par Frédérick Emery, Eric Trist, Henry Dicks, Leonard Browne, Ronald Hargreaves, John Rawlings Rees, Mary Luff et Wilfred Bion. Tommy Wilson en fut le premier Président. Le nom originel était Tavistock Institute of Human Relations. Son objet était principalement l’étude du comportement de groupe et du comportement organisationnel. Kurt Lewin, eut une grande influence sur le travail de l’institut. Plusieurs membres de l’institut devaient jouer des rôles importants dans les affaires mondiales, comme John Rawlings Rees qui devint le premier président de la World Federation for Mental Health (Fédération mondiale pour la santé mentale).
L’institut Tavistock
Le chaos social organisé
L’INSTITUT TAVISTOCK
La plupart de ces fondations servent de levier de pouvoir à des multinationales et financent leurs programmes. Elles sont des laboratoires d’expérimentation sociale de certaines des idées clés des organisations mondialistes. L’institut Tavistock en représente un exemple édifiant. Il fut fondé par des membres des services secrets britanniques et américains (avec des fonds de la Rockefeller Foundation, Ndlr – source).
Monsieur Lewin est connu pour ses travaux en matière de manipulation et de comportement des masses et de lavage de cerveau à large échelle obtenus par des tortures et des traumatismes répétés.
C’est lui qui est à l’origine de la théorie de la table rase, selon laquelle lorsque la terreur est induite dans toute une société donnée, la société se réfère alors à une sorte d’état d’hébétude, situation où le contrôle peut facilement être obtenu à partir d’un point extérieur. Monsieur Lewin affirme que la société pourra être contrôlée, et mieux, pourra être menée progressivement vers un état d’esprit infantile, immature. Il a labélisé cette sorte de chaos social sous le nom étrange de fluidité.
Monsieur Fred Emery, autre chercheur à l’Institut Tavistock, décrit les effets induits par ce chaos social, un chaos lui-même engendré par des traumatismes sociaux, c’est-à-dire des crises économiques et politiques, des conflits sociaux, etc. La société se segmente alors en groupes hostiles pendant que les institutions s’effondrent. Des groupes extrémistes voient le jour. Pour Fred Emery, la forme de chaos social la plus achevée correspond à la dissociation, un état dans lequel la personne individuelle s’identifie à la société en elle-même et se dissocie de sa personnalité de base. À cause de la peur, elle s’isole des autres membres du groupe social. Les individus devenus méfiants et paranoïaques se replient sur eux-mêmes. La culture dominante se fonde alors sur les superstitions et les fantasmes, tandis que les seuls moyens de communication entre les êtres sont les médias électroniques, agissant comme des leurres et accentuant la séparation et la dissociation.
Nous comprenons par-là pourquoi le réseau Internet a en grande partie été créé et surtout rendu accessible au grand public.
De même, dans son ouvrage Entre deux âges, le rôle de l’Amérique dans l’ère technotronique (1970), MonsieurBrzezinski, membre du CFR et actuel mentor de Barak Obama, décrit son ordre social idéal et prédit l’avènement de l’ère électronique, du contrôle par les médias de la société de loisirs, ainsi que la nécessité d’une nouvelle forme de contrôle social : « En même temps, la possibilité d’exercer un contrôle social et politique sur l’individu ne fera qu’augmenter ; il sera bientôt possible d’exercer un contrôle continu sur chaque citoyen par le biais du dossier avec une information sans cesse renouvelée et contenant les détails les plus intimes sur son état de santé et son comportement personnel, en plus des données habituelles. Le pouvoir sera entre les mains de ceux qui détiendront l’information. Nos institutions en place seront remplacées par des institutions de gestion et de prévention des crises. Leur tâche sera d’identifier à l’avance les crises sociales et de développer les programmes pour y répondre. »
L’institut Tavistock est également relié à l’organisation mondiale de santé mentale, à l’UNESCO et au CFR de Monsieur Brzezinski. Bref, nous avons là un magnifique réseau d’influences qui a de toute évidence inspiré le modèle de société dans lequel nous vivons. En outre, l’Institut Tavistock joue un rôle clé dans l’invention d’une psychiatrie sociale en tant que science politique permettant l’emploi de techniques préventives d’intervention sur de larges échelles.
LA FORME DE CHAOS SOCIAL LA PLUS ACHEVÉE CORRESPOND À LA DISSOCIATION. L’INDIVIDU S’IDENTIFIE À LA SOCIÉTÉ EN ELLE-MÊME ET SE DISSOCIE DE SA PERSONNALITÉ.
Tous les programmes des fondations et des instituts financés par des groupes privés sont autant de laboratoires de recherche qui ont mis en pratique les idées préconisées par le second cercle de pouvoir. Pour comprendre dans quelle idéologie s’inscrivent les idées et objectifs des groupes comme Bilderberg, il est fondamental de comprendre que les individus qui centralisent le pouvoir au sein de ces groupes transcendent le traditionnel clivage gauche/droite. Ainsi, vous pouvez très bien voir siéger côte à côte dans ces organisations des économistes d’obédience marxiste comme Edward Mandell, membre du CFR, à côté d’ultra libéraux comme Milton Friedman, des démocrates comme des républicains, des socialistes et des conservateurs.L’appartenance à un parti politique est uniquement pertinente au niveau de la population qui est hypnotisée par cette vision apparente gauche/droite, conservateur/progressiste, tandis que l’élite s’accorde à déployer un moyen de conserver le pouvoir en traversant les crises et les divisions.
IL N’Y A PAS DE TECHNIQUE PLUS PUISSANTE DE MANIPULATION DE LA POPULATION QUE DE LUI DIRE CE QU’ELLE VEUT ENTENDRE ET DE NE RIEN LUI DIRE DE CE QU’ELLE NE VEUT PAS ENTENDRE.
Quelles sont les méthodes utilisées par l’oligarchie par rapport à Barak Obama ? En effet, comme tous les présidents, Barack Obama est lié au groupe Bilderberg. Cette reconnaissance est logique dans la mesure où Monsieur Obama est une création de la Commission Trilatérale. Barack Obama était au départ le candidat de Monsieur Brzezinski qui, comme vous le savez, en est actuellement le mentor, et du milliardaire anti-russe Georges Soros. Le phénomène Obama est l’opération de contrôle d’esprit des masses la plus flagrante et fabuleuse que l’on ait jamais vue. Dans son principe fondateur, le plan a consisté à faire d’Obama le centre de tous les espoirs, de toutes les croyances et de toutes les volontés de changement. C’est pourquoi il fut crucial pour lui de ne jamais donner de détails précis sur ce que signifient vraiment les termes « espoir, changement, croyance ». Toutefois, je peux vous préciser ce que ces termes signifient dans le contexte du jeu de manipulation de l’esprit mis en place par Barack Obama. Ils signifient en fait tout ce que vous avez décidé d’y voir. L’idée stratégique centrale est que vous projetiez sur Barack Obama tout ce en quoi vous croyez de façon à ce qu’il incarne le symbole de votre propre volonté et de votre propre conception du monde : « Je serai ce que vous voudrez que je sois ».
Certains veulent le voir incarner un messie, Abraham Lincoln, John Kennedy ou Buddha. Il n’est en fait qu’une page blanche, un écran, une coquille vide. Il n’y a pas de technique plus puissante de manipulation de la population que de lui dire ce qu’elle veut entendre et de ne rien lui dire à propos de tout ce qu’elle ne veut pas entendre. Barack vient du monde particulier de la persuasion médiatique. Il travaille avec des maîtres de l’art de la manipulation des consciences. Les discours de Barack Obama sont fondés sur des techniques de masse, de contrôle d’esprit et de programmation neurolinguistique. Ils sont soigneusement conçus pour implanter des croyances et des perceptions dans l’esprit du public.
LA DICTATURE A VENIR
Commentaires
Quant à Tavistock, c'est lui qui mena le Strategic Bombing Survey inspiré par l'idée que le nivellement des villes allemandes par les bombes - on lui doit le massacre au phosphore de Dresde - accélérerait la fin de la guerre en démoralisant la population civile allemande. Aussi la réforme scolaire dans l'Allemagne occupée sous prétexte de dénazification. Cette réforme testée en Allemagne fut ensuite appliquée dans tous les pays industrialisés. Maintenant vous savez d'où ça vient.
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