lundi, 14 novembre 2016 08:09

Donald Trump : portrait de l'homme d'affaires

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Note du Bonnet : Trump est-il l'homme qu'il prétend être ? un sauveur. Tellement de gens ont jeté leur dévolu sur lui ne connaissant pas son passé sulfureux. Trump a utilisé le populisme des réseaux sociaux dans un pays où la politique est devenue un véritable spectacle. Si Hillary Clinton est bien corrompue, que dire de Donald Trump ? Voici le portrait d’un homme pas tellement différent des autres ploutocrates.

Alors que Donald Trump représente le seul opposant à la détestée Hillary Clinton, regardons d'un peu plus près dans quel milieu il évolue, et surtout les casseroles qu'il peut avoir collées aux fesses en matière d'abus sexuels, sur des mineures notamment. Car dans son entourage, il y a une belle bande de pervers, aux comportements aussi douteux que celui de Trump. Bref, il est un candidat parfait pour la Maison Blanche.

Dès le début de sa carrière dans l'immobilier, dans les années 60, des journalistes ont repéré une proximité entre Trump et certains mafieux, toujours prompts à lui rendre service et à lui éviter des ennuis. Son avocat, Roy Cohn, en plus de ses liens avec diverses familles mafieuses comme les clans Genovese ou Gambino, était très proche du pouvoir et de certains types, comme Craig Spence, qui faisait aussi dans la prostitution de mineurs.

Trump et la mafia

Trump a longtemps eu pour mentor un certain Roy Cohn, connu pour avoir été l'avocat de plusieurs grands mafieux, et qui a permis à Trump de se constituer un carnet d'adresses. D'ailleurs, un journaliste qui a travaillé sur le cas de Trump pendant 27 ans, David Cay Johnston, s'interroge sur ses liens avec la mafia, notamment en raison d'investissements dans des casinos et autres buildings du côté d'Atlantic City ainsi qu'à New York. Certains des mafieux avec qui il a fait des affaires étaient des clients de Cohn, et leurs entreprises étaient clairement dans l'orbite de la mafia.

Cohn était lui même un bon ami de Craig Spence, ce lobbyiste qui avait défrayé les chroniques pour avoir organisé un réseau de prostitution de mineurs à la maison blanche[1], mais qui a eu la bonne idée de se suicider avant son procès, en 1989. De fait, parmi les clients de Spence, il y avait de hauts officiels des administrations Reagan et Bush, dans les années 80, mais aussi des militaires de haut rang, des hommes d'affaires locaux aussi bien qu'étrangers. Selon certaines sources, une liste de plus de 200 clients existait, mais elle n'a bien sûr jamais été mise sur la place publique [2].

Il est aussi probable que ce réseau était piloté par la CIA dans le but de faire chanter ou de manipuler diverses personnalités. La maison de Spence, où il organisait de nombreux "cocktails" connus dans toute la ville de New York, était bourrée de micros, de caméras dissimulées et de miroirs sans tain.

Par ailleurs, Cohn aurait carrément déclaré à un inspecteur de la police de New York, un certain James Rothstein,qu'il avait participé à un réseau de prostitution dont le but était de faire chanter ou de faire pression sur des politiciens, réseau dans lequel des mineurs étaient utilisés. Ce réseau aurait été opérationnel à l'époque de la grande chasse aux communistes, dans les années 50 et 60. 

Car, Cohn a aussi été un l'avocat de McCarthy dans les années 50, au moment où ce dernier menait cette chasse aux communistes, en voyant partout dans l'appareil d'Etat US. Alors qu'il dénonçait publiquement l'homosexualité, il était lui-même gay et est mort du SIDA en 1986. D'après certains, le réseau en question a continué à être opérationnel jusqu'à présent, et le réseau de prostitution de Deborah James Palfrey, en partie mis au jour il y a quelques années, avait également pour but d'accéder à des politiques afin de les manipuler. Pas de bol, elle aussi s'est suicidée juste après sa condamnation, en 2008. Elle avait, dit-on, une liste de 10 à 15.000 clients. Liste que la justice refuse évidemment de divulguer.

D'après certaines sources loin d'être officielles, Cohn aurait aussi été en contact, à la même époque, avec des Nazis passés du côté US après la guerre, comme Otto Skorzeny, un important financier d'Hitler, Hjalmar Schacht, ou encore Werner Naumann. Selon John DeCamp, un sénateur qui a travaillé sur l'affaire Franklin, Cohn avait notamment pour rôle de mouiller diverses personnalités dans des soirées où des mineurs étaient violés, et où le chef du FBI de 1924 jusqu'à sa mort en 1972, Hoover, était parfois présent.

En 1971, Trump s'installe à Manhattan pour se lancer dans l'immobilier, et il choisit de prendre Cohn comme avocat. Ce qui a bien aidé Trump à se sortir de poursuites engagées par l'Etat pour diverses malversations.

Les liens de Trump avec la mafia, essentiellement la mafia juive, n'ont a priori pas cessé. 

En 2011, Trump aurait renoncé à se présenter à l'élection présidentielle de 2012 en raison de l'implication de deux de ses partenaires d'affaires dans un trafic de cocaïne. Engin Yesil, l'un d'eux, était son partenaire de business pour construire une tour à Istanbul pour 500 millions de dollars et a fait six ans de prison aux Etats-Unis dans les années 90. Un autre de ses partenaires d'affaires dans l'immobilier, Raoul Goldberger, a été arrêté en 2013 pour trafic d'amphétamines et d'ecstasy (spécialité de la mafia israélienne), et avait déjà été poursuivi pour le même genre de trafic en 1999.

Epstein, un ami un peu embarrsassant

En avril 2016, une plainte a été déposée contre Trump par une femme, Katie Johnson, qui dit qu'il l'a violée quand elle avait 13 ans, à plusieurs reprises. Les faits se seraient notamment produits en 1994 lors d'une des innombrables partouzes organisées par Jeffrey Epstein, dont on a déjà parlé. Epstein, qui s'amusait dans la finance, était (avant d'être impliqué dans des viols de mineures) l'ami du prince Andrew, Ehud Barak (ex 1er ministre israélien), Bill Clinton et de bien d'autres gens du gratin[3].

Katie Johnson déclare que Trump était furieux contre elle et une autre gamine parce qu'il n'a pas été satisfait du rapport. Elle évoque une troisième victime du même âge et précise aussi qu'elle a été menacée ainsi que sa famille si elle ne faisait pas ce que Trump et Epstein voulaient. Epstein est également visé par cette plainte.

Dans le carnet d'adresses d'Epstein, on trouve les noms et les numéros d'Ivana Trump, la première femme de Trump, et d'Invanka Trump, sa fille, ainsi que plusieurs adresses et numéros de Donald Trump, notamment à Mar a Lago, son ranch où diverses partouzes ont eu lieu. Dans ce carnet, il y a également les coordonnées de nombreuses victimes d'Epstein et de ses copains pédophiles, aux USA ainsi qu'à Paris.

Alfredo Rodriguez, qui a été un assistant proche de Trump, avait en 2009 essayé de revendre ce carnet d'adresses , qu'il avait mis de côté, aux avocats de la défense pour 50.000$. Mais c'est le FBI qui est venu voir Rodriguez afin de récupérer le carnet, et l'a envoyé en prison 18 mois pour obstruction à la justice. Fort opportunément, Rodriguez est mort juste avant de témoigner devant le cour, d'une maladie nous dit-on. Il avait déclaré avoir vu des filles mineures à poil chez Epstein, alors qu'elles vannaient pour donner des "massages" dans les soirées du pervers.

Aujourd'hui, quatre femmes ont porté plainte contre Epstein et certains de ses copains, et toutes ont eu le même parcours, recrutées alors qu'elles étaient mineures pour faire des massages, ou en tant que mannequins. Car Epstein était aussi à des agences de mannequins sulfureuses.

D'autres accusations du même registre ont été faites par une femme qui décrit un comportement à la DSK, comme si toutes les femmes, y compris jeunes, n'étaient que des objets sexuels à sa disposition. Une certaine Jill Harth, compagne d'un autre partenaire d'affaires avec lequel Trump était en délicatesse, a porté plainte car il aurait tenté de la  violer en 1992 à l'hôtel Plaza à New York puis en 1993 dans sa résidence de Mar-a-Lago. Elle déclare carrément que Trump a essayé de faire d'elle une esclave sexuelle. La plainte a été retirée suite à un arrangement à 125 millions de dollars.

C'est d'ailleurs dans cette résidence de Trump à Mar-a -Lago (où Trump avait aussi créé un "club privé" dont Epstein était membre), que Virginia Roberts, une femme d'une trentaine d'années qui a été l'une des premières à porter plainte contre Epstein, a été embauchée comme "femme de chambre", pour 9$ de l'heure, alors que son père y travaillait comme ouvrier. C'est à Mar-a-Lago qu'Epstein l'aurait recrutée en tant que "masseuse", en 1998 à l'âge de 15 ans.

Roberts a ensuite été trimballée en jet privé dans les divers pieds à terre d'Epstein, où elle l'a vu abuser de très jeunes filles à moult reprises, y compris, dit-elle dans sa plainte, de deux gamines françaises de 12 ans. Virginia Roberts a aussi déclaré qu'Epstein la forçait à avoir des rapports sexuels avec des gens du gratin, politiciens et hommes d'affaires notamment, un peu partout à travers le monde. Parmi eux, le prince Andrew.

Bien qu'il le nie aujourd'hui, en 2002 Trump disait qu'il connaissait Epstein depuis 15 ans et que comme lui "il aime les jolies filles" (jeunes en plus, apparemment, ce qui ne semblait pas lui poser problème). Les deux ont évidemment continué à se fréquenter après, au moins jusqu'à ce qu'Epstein ait de petits ennuis avec la justice, en octobre 2007. D'ailleurs, dans le carnet d'adresses d'Epstein, il y a pas moins de 14 entrées rien que pour Trump. Cependant, quand la justice lui a demandé s'ils se fréquentaient, Epstein en a appelé au 5e amendement, qui permet de ne pas répondre.

L'affaire du yacht-bordel étouffée en Turquie

Un des partenaires d'affaires de Trump, un ancien haut fonctionnaire de l'URSS et diplômé de l'université de Columbia aux USA, dénommé Tevfik Arif0 [4], a été poursuivi en Turquie pour avoir mis en place un réseau de prostitution pour VIP avec des mannequins mineures venues d'Ukraine et de Russie. Il a été acquitté en 2012 au motif qu'aucune des femmes qui se trouvaient une fois à une partouze n'étaient mineures.

D'après l'enquête, qui a duré sept mois, plusieurs filles sur les 13 qui ont été repérées (et arrêtées) étaient mineures [5], mais finalement au procès il se serait avéré que non (cependant des écoutes téléphoniques montrent que les protagonistes évoquaient des filles de 16 ans, décrivaient leur âge, leur apparence, leur poids). L'un des types voulait des filles de 13 - 14 ans et d'après ces écoutes on les lui aurait fournies. Des businessmans payaient de 3.000 à 10.000$ pour une nuitavec ces filles, sur un yacht de 16 suites appelé Savarona.

Apparemment, des hommes d'affaires Russes, Kirghizes et Kazakhs, ainsi que des membres du gouvernement, ont également été arrêté lors de la procédure. Derrière cette affaire, il y avait aussi, d'après ce qu'en ont dit les médias trucs au début de l'affaire, un trafic de faux passeports commis par des officiels trucs et du blanchiment d'argent.

Les enquêteurs ont également parlé de réseau international de prostitution, d'une quinzaine de femmes prostituées dans un hôtel de la station balnéaire chic de Belek en Turquie, où mouillait le yacht mis en cause. Toutefois, les victimes de traite ont été expulsées immédiatement du pays et les types présents, puissants et bénéficiant de faveurs diplomatiques, ont presque tous quitté le pays sans être inquiétés.

Un certain Alexander Machkevitch, ami d'Arif, homme d'affaire russo-israélien suflureux et président de l'Euro-Asian Jewish Congress, était également sur le yacht. Il le louait chaque été à 300.000$ pour 5 jours (alors que le tarif habituel était de 30.000$ la semaine), et était présent lors de la descente de police sur le bateau. Deux associés kazakhs de Machkevitch étaient aussi impliqués dans l'affaire.

Toutefois, parmi les personnes présentes sur le yacht le jour de la descente, seul Arif et une femme appartenant au monde de la mode, Ekaterina Maisuradze, ont été renvoyés devant le tribunal, pour un procès éclair plié en quatre audiences.

Une dizaine de lampistes qui n'étaient pas sur le yacht lors de la descente de police ont également été renvoyés devant le tribunal. Tout le monde en est ressorti libre, parfois cependant avec quelques mois de sursis, y compris les collaborateurs d'Arif qui ont été condamnés pour "inciter, faciliter, et organiser une activité de prostitution". Voilà une peine bien dissuasive...

Plus proche de Trump lui-même, il y a aussi plusieurs femmes qui l'accusent au minimum d'agressions sexuelles. Il y a par exemple cette femme qui a porté plainte contre Trump en 1997 avant de la retirer, probablement suite à des pressions. Malgré tout, cette femme continue à affirmer que Trump utilisait l'American Dream Festival, un concours de musique, d'art etc, pour se fournir en femmes, et même mineures. Trump aurait demandé à cette femme, qu'il a(urait) agressée sexuellement, de lui donner un accès à une des jeunes compétitrices, une tchèque âgée de 17 ans, que Trump a(urait) qualifiée d' "objet sexuel" devant elle.

D'autres amis violeurs -et pédophiles- de Trump

Trump est également un vieil ami de Hugh Hefner, le patron de Play Boy, qui a traumatisé par mal de ses playmates, et dont certains disent qu'il est directement relié au programme Monarch. On notera d'ailleurs que Bill Cosby, accusé de viol par plus de 54 femmes dontcertaines mineures, était un très grand ami de Hefner, ce pervers adepte des playmates parfois à la limite de la puberté.

Certaines des femmes qui accusent Cosby de les avoir violées, la plupart du temps après les avoir droguées, accusent aussi Hefner des mêmes faits ou d'avoir facilité lesdits viols. De fait, certains faits qui se seraient déroulés à la "Playboy Mansion" remonteraient à 1974 [6], quand d'autres sont situés par une victime en 2008. Plusieurs des "bunnies" de Hefner, des playmates qui vivaient à la Playboy Mansion, poursuivent aujourd'hui Cosby pour des viols et/ou des agressions sexuelles.

Fiona Barnett, cette australienne qui a dénoncé fin 2015 un vaste réseau pédophile et satanique (et nazi) dans son pays, a aussi expliqué qu'elle a été emmenée aux USA et notamment au Bohemian Grove, à plusieurs reprises[7]. Elle dit qu'elle a assisté à diverses cérémonies, et qu'elle a été droguée et violée par le révérend évangélique Billy Graham, un star dans le sud des states, un dingue très respecté par Trump. A cette occasion, elle dit qu'elle a assisté à un meurtre rituel commis par des politiciens en robe.

Graham a dit que Trump, qui a "une expérience dans les affaires", est "certainement" le prédisent dont le pays a besoin, et d'une manière générale Graham ne tarit jamais d'éloges sur Trump, qui était présent, tout comme la non moins débile Sarah Palin, à son 95 e anniversaire.



[1] Un réseau qui était au moins en partie approvisionné par les gamins placés à BoysTown, c'est à dire au réseau Franklin.

[2] Spence avait accès sans problème à la Maison Blanche, notamment grâce à un certain Donald Gregg, conseiller à la sécurité de Bush 1er, alors vice-président. Gregg a été impliqué dans le scandale de l'Iran Contra notamment.

[3] Figurent aussi dans le carnet Alec Baldwin, Ralph Fiennes, Michael Jackson et son avocat, Mick Jagger, Courtney Love, Flavio Briatore (ex patron de Benetton), Jean-Luc Brunel (grand ami d'Epstein quia payé ses frais de justice et patron de l'agence de mannequins MC2, basée à New-York et Tel-Aviv, dont certains jeunes mannequins ont été envoyés faire des "massages" chez Epstein. il a été mis en cause dans le milieu de la mode à Paris pour être accro à la coke et sauter sur toutes les gamines qu'il pouvait. Dans ke carnet, lié au nom de Brunel, il y a les numéros de plusieurs filles et de l'agence de mannequins Karins), Naomi Campbell (on se rappelle de cette histoire où le dictateur de Sierra Leone Charles Taylor lui a donné un gros diamant contre on en sait trop quelle prestation), Hermine de Clermont Tonnerre, Sarah Ferguson (l'ex du Prince Andrew, dont Epstein a payé quelques dettes lors du divorce), Robert Hurst (vice président de Goldman Sachs), Ted Kennedy Jr (de la famille Kennedy, associé d'Epstein dans le cabinet Epstein Becker & Green), Henry Kissinger (faucon néo conservateur impliqué dans moult coups foireux des USA à travers le monde, membre du Bilderberg, de la Trilatérale, du CFR et autres groupuscules), Caroline Lang (Time Warner), Jean-Yves Le Fur, Peter Mandelson (membre du Bilderberg, dénoncé comme étant membre d'une secte sataniste anglaise, ami des Rothschild , du prince Andrew, du pédophile Greville Janner, devenu commissaire européen), Alistair McAlpine (autre politicien anglais cité dans des dossiers de pédophilie), Peter Soros (neveu de George Soros), Sarah Kellen (ex mannequin qui a officié comme rabatteuse pour Epstein, qui s'appelle aujourd'hui Sarah Kensington et gère des sociétés pour Epstein), Ghislaine Maxwell (fille de Robert Maxwell le magnat des médias et rabatteuse en chef pour Epstein), David Rockefeller, et bien d'autres.

[4] La boîte d'Arif, Bayrock, a participé à la construction et à l'exploitation du Trump SoHo et du Trump International Hôtel aux Etats-Unis.

[5] La presse Turque parlait même de plusieurs filles de 16-17 ans sur le yacht, mais très vite il n'a plus été question que de deux mineures (dans la presse anglaise notamment), puis plus du tout au tribunal.

[6] Les premières victimes de Cosby remonteraient aux années 60.

[7] D'après d'autres victimes comme l'américain David Shurter, Fiona Barnett est une authentique victime d'abus rituels. Elle a dessiné quelques-unes des scènes dont elle se rappelle, et ses dessins ressemblent beaucoup à ceux d'autres victimes d'abus du même type.

Source : dondevamos.canalblog.com

Commentaires   

 
0 #2 Fred 16-11-2016 00:15
En contre-poids, du point de vue strictement politique, Douguine livre sa vision:

http://www.voxnr.com/5849/douguine-sur-donald-trump
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0 #1 Lio 14-11-2016 20:58
La Trumpmania frôle véritablement le ridicule. Le même ridicule que l'Obamamania d'il y a huit ans. Même cause, mêmes effets mais différents fans (dans le sens premier, fanatiques émotionnels, lire Edgard Morin) : les gauchistes obamaniaques ont été remplacés par les anti-gauchistes exclusifs trumpmaniaques.

Rappelons que si Trump est contre les traités commerciaux internationaux type TAFTA, ce n'est certainement pas pour protéger le pauvre petit chômeur étasunien (qu'il a d'ailleurs exploité durant toute sa vie).

La raison, c'est parce qu'il veut que ces traités soient régentés par le Marché seul, sans aucune intervention d'un État quelconque. Or, ces traités internationaux sont dirigés, orientés par les EU.
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