Mike Deschamps
Plus d’un an après le début de l’épidémie nous en sommes toujours au même constat : le peuple est infantilisé. Certains se rappelleront peut-être de l’article du Journal de Montréal : « Pour 3 zones rouges, 28 jours de punition ». Le mot était lâché, il était bien question de punition. Quelques mois après, la société est toujours gérée comme on gère une garderie.
L’état passe à la vitesse supérieure en termes de propagande
Il n’est maintenant plus question de se faire vacciner pour se protéger (ou pour protéger les autres comme le stipulait fallacieusement un message de propagande gouvernemental) mais de pouvoir sortir de sa condition de prisonnier. En effet c’est avec ce chantage que les gouvernements et ses sbires continuent de terroriser la population. Après avoir incité les gens qui se faisaient vacciner à se prendre en photo pour convaincre leur entourage (encore une mesure d’infantilisation), le gouvernement passe des messages on ne peut plus clair à tous les indécis :
« Aille j’vais t’laisser, je dois recevoir mon vaccin Lac-Des-Iles….
Ton vaccin Lac-Des-Iles ?
Ben ouais tu sais comment j’ai hâte d’organiser mon barbecue au chalet avec toute la famille
Pas bête ça, moi je vais demander mon vaccin restaurant, ça me manque les soirées improvisées avec les amis
Hé moi j’y vais, je pense pas qu’il fonctionne contre les retards ce vaccin-là. »
Ou encore…
« Toi ton vaccin tu l’as eu ?
Non pas encore mais ça va pas tarder
Et tu l’as pris pour quoi ?
Moi j’ai pris le vaccin danse
Le vaccin danse ? trop bonne idée !
Hum oui, m’entrainer avec les filles c’est ce qui me manque le plus !
Ben moi le mien ça va être le vaccin soccer, j’chui vraiment impatiente de retrouver toute la gagne. »
Même son de cloche pour les adolescents !
Pour pouvoir sortir de ce confinement, on incite les jeunes à « faire leur part » en se faisant inoculer des vaccins encore en phase de test. C’est ce qu’on peut comprendre en écoutant le professeur de l’Université de Montréal, Nathalie Grandvaux sur le 98.5fm. Afin de rassurer les parents inquiets elle s’exprime ainsi concernant Pfizer « Il n’y a pas de risque majeur, on a rien entendu… » et pourtant, comme pour Astra Zeneca, quelques cas ont été relevés dont un cas de décès où Pfizer se dégage de toute responsabilité [i] On ne parlera pas ici des cas non déclarés. On comprend qu’il faille faire la sourde oreille quand une chaire de recherche Pfizer est installée dans sa propre université. Et que dire des effets secondaires sur le long terme dont on n’a aucune idée ? De toute évidence Nathalie Grandvaux ne pourra pas répondre à cette question et la bêtise d’un Patrick Lagacé se contentera de ce genre de cette affirmation.
Le lendemain rebelote avec le Dr Olivier Drouin « on beaucoup de problèmes de santé mentale… » sous-entendant que le confinement des adolescents (particulièrement les premiers mois de 2020) et surtout le couvre-feu ont été justifiés quand rien de tout cela ne l’a été. Quand Lagacé lui demande de convaincre les parents, il dit « C’est la même technologie, ce n’est pas quelque chose de nouveau, c’est juste un autre groupe d’âge » un sophisme pour ne pas annoncer qu’il s’agit effectivement d’une nouvelle technologie ARN jamais testé à grande échelle auparavant [ii] « On n’expérimente pas avec les jeunes… » Comment le Dr Drouin appelle les personnes recevant un vaccin ou autre médicament dont la phase de test n’est pas encore terminée ? [ii] des cobayes ! Pour le médecin, le seul moyen de sortir de l’isolement est le vaccin. Comme pour Nathalie Grandvaux, on imagine mal un employé d’un hôpital dire le contraire quand sa fondation reçoit des dons de Pfizer. [iii] Où sont les mesures de prévention pour les jeunes ? Comme pour les adultes, il n’y a aucune prévention. Il ne faut surtout pas dire aux jeunes souffrant d’embonpoint de faire du sport pour tenter de perdre du poids !
Quand Lagacé interrogera des médecins indépendants, les poules auront des dents !
L’infantilisation a été et restera donc encore la méthode privilégiée. On prend le peuple par la main, lui inflige une fessée quand il ne respecte pas les mesures sanitaires, le puni par le confinement et le couvre-feu et lui promet un morceau de chocolat s’il promet de se faire vacciner sans broncher ! Et si par malheur il ne respectait pas sa promesse, il resterait indéfiniment confiné entre quatre murs chez lui. Voilà la triste réalité d’aujourd’hui. Ce que Richard Martineau prend pour de la science est de l’idéologie mêlée à des conflits d’intérêt [iv]
[ii] http://www.lebonnetdespatriotes.net/lbdp/index.php/chroniques/item/23404
[iii] http://www.lebonnetdespatriotes.net/lbdp/index.php/chroniques/item/23501
[iv] https://www.journaldemontreal.com/2021/05/12/comme-si-la-science-etait-une-question-dopinions