Mike Deschamps
Ce documentaire américain (vidéo-ci-dessous), très à charge contre le gouvernement chinois, pourrait donner des pistes à explorer sur l’origine du Coronavirus, et ce malgré la mauvaise foi évidente de ces commanditaires. En effet, la critique du Parti Communiste chinois comme étant le mal absolu sur terre, s’inscrit dans la critique historique du communisme aux Etats-Unis. Ce sont donc des représentants de l’ultra-libéralisme américain qui critiquent les pratiques du gouvernement chinois au nom de l’ouverture aux marchés. Robert Spalding, membre duCouncil on Foreign Relation, s’exprime ainsi dans le reportage « Commençons à inspirer les gens à aimer la démocratie, la transparence et l’ouverture des marchés » Voilà ce qui semble motiver ces mondialistes.
L’hôpital qui se fout de la charité
Dans ce reportage, les Chinois sont également accusés de diriger l’OMS et ceux qui tiennent ces accusations s’abstiennent de parler de Bill Gates et de sa fondation et de l’influence qu’il a sur l’OMS. Comme d’habitude la stratégie typiquement étatsunienne consiste à pointer du doigt les autres pour cacher ses propres mensonges. Alors que ce reportage évoque le développement de l’arme bactériologique par le gouvernement chinois, les commanditaires évitent de parler du même développement aux Etats-Unis. « Il est ironique de penser qu'en même temps que Washington pointe l'Irak du doigt (et aujourd’hui la Chine), les faits montrent amplement que les États-Unis se sont créé un énorme arsenal d'armes biologiques en pure violation des lois et des conventions internationales. Tout en accusant l'Irak et la Corée du Nord d'enfreindre les traités, les États-Unis contreviennent aux conventions internationales et n'ont toujours pas signé la Convention sur les armes biologiques et à toxines. » [1]
Selon ISN, « les États-Unis ont entrepris en secret un programme de recherche sur les armes biologiques qui, de l'avis de certains responsables, étire à l'extrême le traité universel d'interdiction de cet armement… Le traité de 1972 interdit aux nations de fabriquer ou d'acquérir des armes qui répandent des maladies mais il permet de mettre au point des vaccins et d'autres mesures de prévention. » [1]
Zone grise sur le pouvoir chinois
Evidemment, on peut douter également des directives données par le gouvernement chinois. Le nombre de décès est-il exact ? Y a-t-il une couverture volontaire des évènements dans le but de cacher un accident ? Est-ce que la pandémie qui sévit dans le monde est la conséquence d’une fuite d’un laboratoire ? Tous les éléments exposés dans ce reportage le laissent penser.
Le COVID-19 : accident, fuite ou la manipulation d’une arme bactériologique ?
Au-delà donc de la propagande antichinoise (contre le gouvernement communiste) du documentaire, le reportage révèle la possibilité d’une manipulation en laboratoire comportant 4 séquences biologiques insérées venant des séquences du VIH. Apparemment le virus comporterait des gènes venant d’humains et d’animaux dont une protéine du VIH, la GP41, responsable de la défaillance du système immunitaire. Si la preuve est établie au niveau mondial, ces accusations contre le gouvernement chinois pourraient se transformer en déclaration de guerre à moins qu’il soit avéré que le Coronavirus ait été lâché dans la nature volontairement par un groupe de personnes inconnues. Se pourrait-il que nos gouvernements au Canada et ailleurs soient au courant de cette découverte ? D’où la décision d’étendre un confinement jusqu’à l’obtention d’un vaccin ? Les porteurs du COVID-19 se verront-ils plus tard subir des séquelles similaires aux porteurs du VIH ?
Une zone d’ombre plane au-dessus du Coronavirus…