dimanche, 01 fevrier 2015 05:32

Dégâts du féminisme ( des gars, du féminisme ) Acte II Scène IV

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Dégâts du féminisme (des gars, du féminisme)
 
Autopsie de la famille québécoise
 
Acte II
Féminisation > démasculinisation
 
Scène IV.
La dévirilisation de la pensée masculine
 
La féminisation de la société, c'est le bélier du capitalisme de la séduction basé sur le crédit. On rentre en force moralement mais en douceur (et en dentelles) physiquement.
 
Puisque les éruptions de génocides sont à la mode, réclamons des réparations pour le génocide de nos intellectuels virils !
La télévision, leur camp d'extermination. Nurembergisons l'athée Lévy sion !
 
Car en politique, terminées les visions de long terme, terminées les oppositions idéologiques sur l'orientation à donner au Québec. Place aux décisions à la petite semaine, place aux lois pis-aller. Faites place à la gestion au quotidien !
 
Car dans les débats, terminées les prises de position raisonnées, terminés l'action et les idées de combat. Place au nombre d'enfants morts, au Gentil et au Méchant, place au goût et à l'esthétique. Faites place à l'émotion !
 
Car dans le journalisme, terminée l'information creusée par l'investigation de terrain, terminé le traitement causes/conséquences, place aux images sensationnelles, place aux réactions intempestives. Faites place aux atours de l'information !
 
Car, enfin, dans notre quotidien, terminés les bars et autres cafés dans lesquels on se donnait à cœur joie aux joutes politiques, terminées les explications franches au travail,  place à l'apolitique, place aux vilénies. Faites place à la douce hypocrisie assumée !
 
Guidée par ses émotions, la Femme « ressent » les idées politiques. Elle est indignée, elle vocifère, elle fond en larmes parfois mais, ne pouvant les maîtriser ces satanées émotions, elle demeure intellectuellement passive.
Voilà pourquoi la femme n'a pas en elle l'essence de la transgression !
 
En outre, remarquons la prédominance de l'empathie, attribut du sujet Femme, vertu qui visse notre société viciée.
 
Exemple : vous voulez vendre le mariage des binômes de mêmes appareils génitaux à une population donnée ?
 
Activez l'empathie par le truchement des médias :
 
- en interrogeant un couple d'homosexuels qui s'aiment à mourir et qui a dû faire toutes les guerres pour se voir offrir la possibilité de se dire « Oui » devant Dieu....euh non...devant M.le Maire (ou Mademoiselle la Mairesse...euh non...décidément...Madame la Mairesse.)
 
- en donnant la parole à Robertao, un métasexuel du Matto Grosso qui depuis l'âge de 8 ans a dépassé le cadre strict du genre dans lequel la nature (« une oppression fasciste » selon lui) l'a enfermé(e?). Robertao souffre car la société ne reconnaît pas son « avant gardisme » (il est en avance sur le modernisme).
 
- en filmant sous toutes les coutures le bonheur du petit Toussaint, enfant haïtien choyé par ses deux papas, chevauchant les genoux de l'un, s'agrippant au cou de l'autre.
Cet adorable Toussaint, à qui on donnerait le bon Dieu sans conf...euh non...à qui on donnerait Madame la Mairesse sans élections, cheveux gominés et mohawkés, salopette rutilante sur le chandail « Canada », ce brillant enfant donc balbutie déjà des mots d'amour pour papas.
 
Prolongeons la réflexion. L'empathie génère, enfante inexorablement toutes sortes d'émotions. Et toute approche émotionnelle d'un quelconque débat politique se veut incontestable, inattaquable. On ne conteste pas les émotions voyons ; elles nous sont propres, singulières. Encore pire, les émotions c'est la liberté !
 
Fin du débat ! Pardon, plutôt, non début du débat !
 
Ainsi, tout puissant pouvoir saura s'appuyer sur les femmes, les « pommader » dans le sens des rides. Une garantie de fidélité !
La femme, véritable égérie de notre société marchande donc, est la gardienne du Temple libéral, son plus fidèle soldat.
Ou le ludion de cette société, nous y reviendrons.
 
Le Pouvoir a donc tout intérêt à féminiser les réflexes des hommes. La soumission collective est en ordre de marche. Et nous obtempérons. Tous.
 
Car in fine, les émotions dans le débat sociologico-politique ça correspond à quoi ?
C'est le politiquement correct !
Féminiser une pensée politique c'est baiser avec le politiquement correct ambiant...ou se faire prendre par lui...
 
Rappels :
 
 
 
 

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